Ce titre figure sur :Titre déjà joué 192 foisPremière apparitionle 29.11.2004
à Paris
Dernière apparitionle 07.05.2022
à Lunery
Quand je ne peux plus supporter
Les décors agglomérés
Et leurs airs vicieux et viciés,
Je rêve d’un endroit plus dilué
Où je pourrais me concentrer.
Peu m’importe où le ciel est bleu,
Moi, ce que je veux,
C’est la mer, c’est le vent,
C’est l’espace et le temps,
C’est de l’eau, c’est de l’air et du courant,
C’est un tourment pourtant si apaisant,
C’est le sol à dorer,
C’est le parfum salé,
C’est la teinte indécise et nuancée,
C’est tellement simple que c’est oublié
Et je sais où aller
Quand je ne peux plus cautionner
Ces lieux qui cherchent un passé
Pour leur présent sans intérêt,
J’entends un appel intérieur
D’une histoire qui me tient à cœur
Et, si mes choix sont tendancieux,
Moi, ce que je veux,
C’est la mer, c’est le vent,
C’est l’espace et le temps,
C’est de l’eau, c’est de l’air et du courant,
C’est un tourment pourtant si apaisant,
C’est le sol à dorer,
C’est le parfum salé,
C’est la teinte indécise et nuancée,
C’est tellement simple que c’est oublié
Et je sais où aller
Quand je ne peux plus accepter
De m’aérer comprimé,
Rationné en aire à pâtés,
Je pense à mon jardin désert,
À ma chère côte aux bras ouverts
À l’opposé des plus nombreux,
Moi, ce que je veux,
C’est la mer, c’est le vent,
C’est l’espace et le temps,
C’est de l’eau, c’est de l’air et du courant,
C’est un tourment pourtant si apaisant,
C’est le sol à dorer,
C’est le parfum salé,
C’est la teinte indécise et nuancée,
C’est tellement simple que c’est oublié
Et quand je n’aurais plus
D’endroit où ma vie ait un sens,
Je me mettrai en partance
Dans mon lieu de vacance,
Mon amour de naissance…